Carnets
Par Safet Zec
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Carnets
Qupé Éditions, 2019
Dimensions : 30 sur 32 cm
Poids : 2,2 kg
Couverture souple
300 pages couleurs
Beau livre reproduisant, au format réel avec une sélection de 150 feuillets choisis dans les cinq carnets de Safet Zec réalisés entre 1999 et 2012.
« La devise de Pline l’Ancien, Nulla dies sine linea – Pas un jour sans une ligne – est celle de Safet Zec. En témoignent ses carnets qui prennent place dans cette histoire dont la mémoire rassemble ceux de Delacroix, de Turner, de Degas ou encore de Bonnard…
Ces pages rendent compte d’une traque dans laquelle le peintre affronte la réalité, parfois banale, pour aller au-delà des apparences. Ici, ce sont quelques taches, les pages d’un journal, déchirées et collées, quelques traits ; et là, des lignes, des contours. Chaque ébauche est un geste désespéré auprès d’une photographie récupérée dans un magazine et montrant la réalité violente et obscène de la guerre.
Tous les moyens sont bons pour déchiffrer ces réalités. Du crayon à l’aquarelle ou la gouache. Du feutre à l’acrylique ou la tempera. »
Projet éditorial initié et livre postfacé par Pascal Bonafoux.
Carnets
Qupé Éditions, 2019
Dimensions : 30 sur 32 cm
Poids : 2,2 kg
Couverture souple
300 pages couleurs
Beau livre reproduisant, au format réel avec une sélection de 150 feuillets choisis dans les cinq carnets de Safet Zec réalisés entre 1999 et 2012.
« La devise de Pline l’Ancien, Nulla dies sine linea – Pas un jour sans une ligne – est celle de Safet Zec. En témoignent ses carnets qui prennent place dans cette histoire dont la mémoire rassemble ceux de Delacroix, de Turner, de Degas ou encore de Bonnard…
Ces pages rendent compte d’une traque dans laquelle le peintre affronte la réalité, parfois banale, pour aller au-delà des apparences. Ici, ce sont quelques taches, les pages d’un journal, déchirées et collées, quelques traits ; et là, des lignes, des contours. Chaque ébauche est un geste désespéré auprès d’une photographie récupérée dans un magazine et montrant la réalité violente et obscène de la guerre.
Tous les moyens sont bons pour déchiffrer ces réalités. Du crayon à l’aquarelle ou la gouache. Du feutre à l’acrylique ou la tempera. »
Projet éditorial initié et livre postfacé par Pascal Bonafoux.